Le silence de la langue française sur le sujet n’a rien d’un hasard. Aucun mot consacré, aucune entrée dans nos dictionnaires. L’administration, fidèle à sa froideur, ne s’aventure pas plus loin que le factuel “sans enfant à charge”. Même les tentatives de traduction de l’anglais, avec ce fameux “DINK”, peinent à s’imposer hors de quelques cercles initiés.
Ce vide lexical …