En France, près de 60 % des surfaces artificialisées depuis 1982 concernent des zones périurbaines. Cette progression rapide modifie profondément l’organisation des territoires et la gestion des ressources.
Certains territoires voient cohabiter logements récents et déserts de services, tandis que d’autres cumulent attractivité résidentielle et saturation des infrastructures. Entre promesse de qualité de vie et multiplication des déplacements, les choix …
